Le pédagogue et la meute
Je ne suis pas un grand lecteur de Philippe Meirieu, trouvant la sociologie de l’éducation (François Dubet, Marie Duru-Bellat, Nathalie Mons, Pierre Merle, etc.) plus intéressante, plus rigoureuse et plus féconde que les sciences de l’éducation (Meirieu), qui me paraissent trop teintées d’idéologie et pas assez de… sociologie. Mais j’ai du respect pour ce monsieur.
Je suis donc tombé sur un article intéressant, sur Philippe Meriieu, sur un blog d’un journaliste éducation du Monde, Luc Cédelle, et sur la meute « anti-pédagogiste » qui lui colle aux basques.
En voici l’accroche :
Le pédagogue et la meute : Philippe Meirieu et ses inlassables détracteurs qui le poursuivent, non de leurs critiques ou de leurs démonstrations mais de leurs affabulations. Comme toutes les démagogies, celle-ci a rencontré son public et un certain succès. Cela revêt un caractère choquant pour le journaliste que je suis, attaché non à l’objectivité, qui n’existe pas, mais à l’effort d’honnêteté et d’exactitude dans la relation des faits.
La suite, qui parle essentiellement du travail et de la personnalité de ce monsieur, est ici.
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